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Samedi 27 avril 2024
Juzet-de-Luchon
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Patrimoine

Armoiries de notre blason

L'emblème de notre village.

Description héraldique.

Ecartelé :

_ au premier d’azur à une branchette de chêne d’argent en bande feuillée d’une pièce du même en barre et fruitée à senestre d’un gland au naturel,

_ au second d’azur à une montagne d’argent, entre deux versants de sinople mouvant des flancs, d’où descend un torrent serpentant aussi d’argent, et à un pignon de bergerie du même maçonné de sable brochant en pointe à senestre sur le torrent,

_ au troisième de sinople à deux boeufs d’argent attelés à un joug de sable, descendant en tirant deux troncs d’arbre d’or, le tout en barre,

_ au quatrième d’azur à un soleil non figuré d’or.

Le patrimoine Juzetois mis en valeur.

La Municipalité de Juzet-de-Luchon a commencé la mise en valeur de son patrimoine en réalisant une série de signalétiques sur l’histoire de ce bien commun et faisant partie de notre histoire collective.

 

Cette première série comprend la mise en valeur des Croix implantées par les abbés Noguès et Soulé entre 1866 et 1869.

 

Il en est de même pour l’Eglise Saint Blaise fraîchement restaurée et sur laquelle son histoire est déclinée.

 

Le point d’orgue de cette campagne de mise en valeur a été la pose et l’inauguration de la Croix d’Estirouns. Depuis longtemps, ce monument décapité était resté en déshérence. C’est donc en présence de quelques villageois et à l'initiative de l'un d'entre eux, que la mémoire des lieux et la nouvelle croix a pu reprendre toute sa place, sous le regard de la dernière génération Eulalie et Pierre.

 

Cet évènement a permis, dans une ambiance conviviale, de constater l’attachement porté à notre patrimoine et à la transmission entre les générations de notre histoire collective, avant de se retrouver autour d’un pique-nique chaleureux dominant la vallée.

Archives de Juzet de Luchon: le cadastre

La mutation du cadastre dit « Napoléonien » immuable, au cadastre sous la forme que l'on connaît de nos jours , eût à subir des évolutions tant juridiques que techniques au fil du temps. La réglementation était différente au regard de chaque période, mais coïncidait avec le répertoire des biens fonciers, au regard des titres de propriété.

Les qualités graphiques du « Napoléonien » sont à situer dans un cadre d’immuabilité, interdisant de modifier le plan, ou de nouveaux numéros ou nouvelles parcelles. A chaque évolution et morcelable, vente ... des biens, ces derniers étaient repérés par leur numéro de parcelle immuable, mais avec une annotation.

Cette annotation signifiait que cette parcelle comportait plusieurs propriétaires distincts et en pleine propriété, sans indivision. La distinction se faisait au regard des actes de propriété et des surfaces attribuées ex : Monsieur A n°Xbis 100a Monsieur B N°Xbis 150a.

Une parcelle identiquement numérotée, dans laquelle figurent deux autres parcelles de deux propriétaires différents, une de 100a et une de 150a, ce qui porte la parcelle X à 250a. 

Cette explication est nécessaire car beaucoup ont mal compris la réglementation de l'époque en la transposant à ce que nous connaissons aujourd'hui, en interprétant qu'une parcelle avec plusieurs propriétaires sous le « Napoléonien », les mettait forcément en indivision ce qui est complètement faux. 

Pour remédier à ce problème, un bornage opposable géant pour chaque commune de France fut réalisé avec pour but de créer les parcelles pour chaque propriétaire en accord avec eux.

Ainsi la fin de l’immuabilité du cadastre « Napoléonien » a sonnée pour une représentation permettant l'évolution et la modification du plan au fil des titres de propriété et des modifications retranscrites par les hypothèques via les titres de propriété et la fixation des limites par le géomètre du cadastre pour ses débuts.

"Tableau d'assemblage 1936"

"1ère feuille éch 1/2500"

"2ème feuille éch 1/1250"

"3ème feuille éch 1/1250"

"Section B éch 1/1500"

C. Thomas

Archives de Juzet de Luchon: devoir de mémoire.

Le devoir de mémoire dû à nos Juzetois tombés sur les Champs de Bataille est un acte important et nécessaire. La mémoire se trouble avec le temps et les événement de ces périodes laissent peu de repères à nos jeunes générations.

Je vous propose de consulter le fichier de Mémoire des Hommes, et de rechercher dans les fichiers les Juzetois Morts pour la France durant la Grande Guerre. Ce fichier vous permettra de retrouver des éléments indispensables : année et lieu des classes, numéro de matricule... que vous complèterez par le fichier des Juzetois ayant fait leurs classes entre 1867 et 1921, pour obtenir leur feuille du Registre de Matricule et avoir des détails sur leur parcours militaire.

Selon les états de services, vous complèterez par le journal des opérations du régiment concerné par le soldat, et l'historique du Régiment sur le site Mémoire des Hommes.

Aide à la recherche

" Archives Haute Garonne"

Site Mémoire des Hommes

"Site"

Fichier Mémoire des Hommes

"Fichier"

Journal de l'unité

"Journal"

Nos soldats classes 1867 et 1921

"Registres"

"Registres"

Services Historique des Armées

 "Service Historique"

Monument aux Morts administration

"Monument aux Morts"

Recherche générale

"Collection documents"

Quelques lithographies et photographies de la BNF, attention il y a un piège...

"Cascade Juzet"

 "Ravin Juzet"

"Cascade Juzet en hiver"

"Inondations Juzet"

 "Cascade juzet"

"Cascade Juzet"

"Cascade Juzet"

"Castel-Vieilh - Cascade Juzet - Pavillon Buvette - Cascade Sidonie"     

"Cascade Juzet"

"Vallée de Luchon"

"Archives Dordogne"

Archives Ouvertes universitaires sur l’érosion du versant de Juzet

"Archives Ouvertes"

C. Thomas

Archives de Juzet de Luchon: année 1813, ....

Pour ceux qui souhaitent la correspondance entre calandrier Républicain et Grégorien voir le lien suivant:

 "Calandriers"

Poursuivons dans la généalogie avec les tables et les registres civil N naissance, M mariages, D Décès, NMD et registres paroissiaux avant la Révolution : B baptême, M mariages, S sépultures : BMS.

"Table 1813 à 1933"

"Registres 1876 à 1895" 

"Registres 1883 à 1892"

"Registres 1873 à 1882"

"Registres 1863 à 1872"

"Registres 1853 à 1862"

"Registres 1843 à 1852"

"Registres 1813 à 1933"

"Registres an V à 1840"

"Registres 1794 à 1802" 

"Registres 1762 à 1791"

Quelques cartes postales :

"Eglise"

"Bazus chez Mr Baqué"

"Monument aux Morts"

Un panneau d'information sur les lavoirs et les lavandières de Juzet sera réalisés. Dans l'attente une carte de la lavandière sur sa pierre.

"Lavandière"

"L'Eglise"

"Vue générale"

"La cascade"

"La cascade"

Toutes ces cartes postales sont issues du fond Labouche aux Archives Départementales de la Haute-Garonne.

C. Thomas.

Archives de Juzet de Luchon: notes de généalogie,......

Quelques notes de généalogie communale.

Les registres d’État Civil, comprennent les : N naissances, M mariages, et D comme décès, et sont enregistrés par année civile, mais pas forcément dans un registre distinct. En effet la collection des Archives Départementales de la Haute-Garonne, possède des registres numérisés sur la base des micro-films et peut comporter aussi d'autres communes commençant par la lettre J.

Il n'est donc pas rare de retrouver sur la première page du registre concerné par l'année et la commune de Juzet de Luchon, une autre commune. Il suffit de poursuivre plus loin dans le registre numérisé pour retrouver d'abord les naissances, mariages et décès. NMD. 

Parfois, nous retrouverons des registres comprenant d'abord les naissances de la commune, de la commune suivante, avant retrouver un peu plus loin les mariages et les décès. Ces registres sont couverts par le nom de la commune, puis par lot de naissances, mariages ou décès.

Parfois des registres peuvent se chevaucher. Cela est dû à la collecte des données soit en registre communal ou auprès du Greffe du tribunal de Saint-Gaudens. Il en est de même pour les registres paroissiaux, ordonnancés sur le même mode pour les : B baptême, M mariage, S sépulture BMS au lieu du NMD civil. 

Les tables. 

Afin d'accéder plus facilement aux actes et consulter le bon registre, des tables dites Tables Décennales existent par tranche de 10 ans. Là aussi, comme pour les registres numérisés, ils peuvent être réalisés sur la base des micro-films qui comportent aussi d'autres communes commençant par la lettre J.   

Il n'est donc pas rare de se retrouver avec la première page du registre concerné par l'année et la commune de Juzet de Luchon, sur une autre commune. Il suffit de poursuivre plus loin dans le registre numérisé pour retrouver d'abord les naissances, mariages et décès. NMD. 

Recherche 

Nous allons donc commencer  aujourd'hui par les Tables Décennales, en rappelant que ces Tables ne sont que des synthèses et peuvent avoir des manques, comblés par les registres eux mêmes.

Si recherche par table infructueuse, poursuivre dans le registre, même si cela est plus fastidieux. Pour ce faire, toutes les sources sont bonnes, comme les recensements vus précédemment.

Sur la base de l'acte trouvé, on retrouve les parents concernés avec date et lieu de naissance ou de résidence. Pour les décès, l'âge du défunt sera à retrancher de la date de l'acte pour trouver son acte de naissance.

"Table 1801 à 1812"

"Table 1813 à 1822"

"Table 1823 à 1832"

"Table 1833 à 1842"

"Table 1843 à 1852"

"Table 1853 à 1862"

"Table 1863 à 1872"

"Table 1873 à 1882"

"Table 1883 à 1892"

"Table 1893 à 1902"

"Registre 1902"

"Registre 1903 à 1912"

Architecture

" Projet cabane 1901" 

Les plans de la rénovation ancienne de l'église dans lesquels figurent les vestiges de l'édifice primitif comme évoqué sur le panneau d'information se trouvant sur la façade de l’église.

"Eglise 1846"

"Eglise 1862"

C. Thomas

Archives de Juzet de Luchon: année 1849, ....

En cette période propice à la lecture....

En premier lieu, réponses aux énigmes photographiques:

_ La solution à la photo énigme est la même que la précédente: photo à retourner horizontalement pour retrouver la vue sur Hournas, prise des parcelles bâties actuelles.

On distingue le petit clocher de la chapelle réalisée par Daniel Baqué pour enterrer ses chiens, qui fera courir plus tard la fausse rumeur sur la commanderie de Frontes et sa chapelle à Bazus alors qu'il n'en est rien. 

_ Sur la photographie, le ruisseau de Salens avait repris son lit initial qui se situait plus au sud, vers Montauban-de-Luchon, rejoignant la Pîque dans la partie nord de la stabulation de Mr. Tiné.

D’où la topographie en arrondi: "ardoun", et la présence de part et d'autre du ruisseau du toponyme "cloudets", que le lit actuel coupe en deux dans sa longueur (voir cadastre Napoléonien).

Poursuivons avec les projets de construction d'école à l'époque, ainsi que du Presbytère, actuellement Foyer et Mairie.

"Plan d'ensemble"

"Plan général"

"Exhaussement presbytère"

 "Restauration presbytère"

C. Thomas

                                                  

Archives de Juzet de Luchon: année 1806, ....

En cette période propice à la lecture....

Autres liens concernent les plans du cadastre napoléonien de 1837.

"Plans cadastre"   

"Plans cadastre"

"Plans cadastre"

Continuons notre voyage dans les recensements avec:

"Recensement 1891"   

"Recensement 1886"

"Recensement 1881"

"Recensement 1876"

"Recensement 1866"

"Recensement 1846"

"Recensement 1806"

Réponse à l’énigme photographique sur le cliché "Inondations 1897": 

Les clichés anciens sont issus de négatifs posés sur plaque de verre. Ces documents collectés sont reproduits à l’époque et par les différents services de collecte ou les éditeurs de cartes postales avec une méconnaissance des lieux et du bon côté du négatif.

C'est ainsi que bon nombre de documents photographiques anciens sont reproduits en négatif : retournés horizontalement ou verticalement. Cette production donne des clichés retournés qui sont parfois non identifiables. 

C'est pourquoi la réponse à l’énigme était bien la Place de la Mairie mais développée horizontalement.

Autres clichés le même jour:

"Inondations 1897"

Autre photographie des inondations au niveau de la petite passerelle d'où l'on aperçoit que 80 cm du haut de la Croix en face la propriété Vidale.

"Inondations 1897"

Autre énigme sur la commune à retrouver, réponse au prochain article.

"Inondations 1897"

Un peu d'architecture avec les plans de la nouvelle école communale en 1881. Actuellement appartements communaux.

 "Ecole communale" 

C. Thomas.

Diaporama

Archives de Juzet de Luchon: année 1837, .....

 

En cette période propice à la lecture.... 

Les archives de notre commune sont riches d'informations : histoire , généalogie.... 

Dans cette période contraignante, je vous invite à vous promener au travers notre patrimoine collectif. 

Le premier lien concerne la Monographie des Instituteurs de la Haute-Garonne, photographie à un instant T des communes au travers les instituteurs.   

"Monographie des Instituteurs"

Le deuxième lien concerne le recensement des personnes de la commune en 1911. Lieux, personnes sous le même toit, profession, autant d'informations sur nos concitoyens. Nous remonterons le temps de ces recensements durant ces moments qui s'imposent à nous. 

"Recensement 1911"

Les autres liens concernent les plans du cadastre napoléonien de 1837. 

"Plans cadastre"

"Plans cadastre"

"Plans cadastre"

Continuons notre voyage dans les recensements avec ceux de 1906, 1901 et 1896. Ces derniers sont désignés par zone géographique sur la commune : personnes vivants sous le même toit, chef de famille, profession, brassier(e) ou journalier(e) pour la main d’œuvre, propriétaire... 

 "Recensement 1896"

 "Recensement 1901"

 "Recensement 1906"

Voir aussi ce cliché des inondations de 1897 avec le presbytère et l'abbé, ainsi que Notre Dame des Victoires sous les remblais.

Ce cliché comporte une anomalie: à vous de la rechercher. La solution à la prochaine mise à jour.

 "Inondations 1897"

C. Thomas

Eglise Saint Blaise

Une petite visite historique

L'église Saint Blaise et Sainte-Eulalie, Romane emportée par l'inondation de 1540, puis Renaissance, voulue par l'abbé Noguès, reconstruite en 1860, trois ans après celle de Luchon, grâce à Achille Fould, ministre de Napoléon III qui régla une bonne partie de la dépense.

Aux origines de l'Eglise

Eglise St Blaise

Autour de l'église, on trouve au levant: une croix en fer sur socle en marbre, datée de 1851, célèbre le jubilé de St Bertrand de Comminges institué par Bertrand de Goth, évêque, en 1304, puis devenu le premier pape d'Avignon sous le nom de Clément V (1305).

On retrouve cette croix à Hérontès, au bord de la route départementale 27 marquant la limite entre Juzet et Montauban, puis marquant les limites entre Juzet et Salles au bord du ruisseau de Sept-moles, enfin, sur la route montant à Artigues marquant les limites entre Juzet et Sode. 

Ces quatre croix sont dites "croix de mission". Elles ont été en effet plantées là par des prêtres catholiques venus réévangéliser les zones rurales au XIX° siècle, déja déchristianisées après les révolutions, afin de rappeler leur passage missionnaire.

A l'extérieur de l'église, à gauche de la porte d'entrée, se trouve posée debout la pierre tombale, contenant l'épitaphe suivante : "Ci-git Me Bernard Forgue, bachelier en théologie, curé de Juzet, natif de la ville d'Arreau, décédé le 19 Août 1806". Il s'agit bien sûr du dernier vicaire de l'ordre de Malte à Juzet né en 1732, vicaire de 1762 à 1790, prêtre jureur, c'est à dire ayant prêté serment à la constitution civile du clergé en 1790. On lui doit la culture des premières pommes de terre à Juzet !

Croix sur socle

Au pied du clocher, une croix en fer sur socle avec l'inscription : "O Cruz Ave spes unica" ( Ô croix tu es notre unique espoir). Soulé, curé 1869 --

Chrisme -1540-

Quelques réemplois de l'ancienne église Renaissance : porche, chrisme daté de 1540, fenêtres du clocher dont une surmontée d'un autel votif gallo-romain anépigraphe. Le clocher octogonal contient, et n'en déplaise à celui de Saint Mamet chanté par Edmond Rostand, le plus beau carillon de la vallée : 10 cloches, une de 1603, deux de 1859, sept de 1894, chantant encore avec bonheur l'Ave Maria.

St Blaise

A l'intérieur : deux belles statues en bois doré du XVI° siècle : la Vierge à l'enfant, St Blaise. Ce dernier, protecteur de la paroisse, né en Arménie au II° Siècle, est le patron des oto-rhinos-laryngologistes. Jadis, en effet, le curé imposait autour du cou des malades, le collier dit de Saint Blaise formé de deux cierges en forme de V et prononçait cette courte prièce : "que Dieu te guérisse de tes maux de gorge et de toute autre maladie!". Fêté le 3 février .

- un meuble en bois, à gauche de l'entrée, de 1580, orné de la croix de Malte à huit branches ( les huit béatitudes), sert de réceptacle aux offrandes.

Vierge à l'enfant

 

Alors que St Blaise est dans la chapelle gauche de la nef, la chapelle droite est réservée à la statue de la Vierge. Le décor de la chapelle est néo classique et par autorisation du pape porte sur son fronton : "autel privilégié". .../...

La Nativité

Huile sur toile due au Juzetois Raymond Sanson, en 1883, guidé par Bertrand Bernard, disciple de Romain Cazes, le célèbre peintre Luchonnais élève préféré d'Yngres : la Nativité, de facture romantique attardée, a à nouveau sa place dans le choeur de l'église.

La Crucifixion

Huile sur toile due au Juzetois Raymond Sanson, en 1883, guidé par Bertrand Bernard, disciple de Romain Cazes, le célèbre peintre Luchonnais élève préféré d'Yngres : la Crucifixion,de facture romantique attardée, a à nouveau sa place dans le choeur de l'église.

La Résurrection

Huile sur toile due au Juzetois Raymond Sanson, en 1883, guidé par Bertrand Bernard, disciple de Romain Cazes, le célèbre peintre Luchonnais élève préféré d'Yngres : la Résurrection, de facture romantique attardée, a à nouveau sa place dans le choeur de l'église.

En l'honneur des enfants de Juzet de Luchon morts pour la France.

Citons aussi, face à la Mairie, la belle statue de Notre-Dame des Victoires, en souvenir de la mission de 1859, due à l'abbé Noguès, curé de Juzet.

Elle repose sur des colonnes dont le socle rappelle la hauteur de la crue de 1875. Financée par Napoléon III . .../...

Plus bas, près du pont du ruisseau de la cascade, autre croix en marche datée de 1866.

 


Le vrai château

Il se trouve au nord du village, place de l'Ormeau, juste au départ de la route de Sode.

Bien, en dehors de l'église, ayant résisté au sac de Juzet par les Miquelets en 1711, il est donc postérieur à cette date et vraisemblablement contemporain du château Lafont-Lassalle de Luchon (1772). A vrai dire il comporte deux parties accolées : la plus ancienne, au couchant, et la plus récente, au levant, bâtisse carrée à un étage. Dès cette époque, il appartient aux Fadeuilhe, famille juzetoise aisée, ayant comportée trois maires au début du XIX° siècle, puis aux Comet, originaires de Moustajon qui l'ont acquis vers 1900 et le possèdent toujours de nos jours ( famille Lafontan-Comet).

 

Le château de Bazus

Doit sont nom au sieur Sode de Bazus, propriétaire du terrain au XVIII° siècle. Daté de la fin du XIX° siècle. 

Allure romantique à la Viollet- le-Duc. Situé sur un cône de déjection, rive gauche du Salens, domine la vallée de Luchon. Il n'a rien à voir avec l'ancienne commanderie et fut longtemps la propriété du maire Daniel Baqué.

Cependant quelques pierres de réemploi (encadrements de portes et fenêtres), se distinguent ansi que divers éléments architecturaux qui ne sont que des copies d'ancien, rajoutés par Daniel Baqué.

 

 

Un peu d'histoire à Juzet

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Les temps anciens.